Bonjour à tous
Les meilleurs choses ont une fin. Germanicus XII est mort, vive Grermanicus XIII.
1) Fabrice et ses bavarois en rencontre. Un mauvais placement de mon avant garde est c'est parti pour la galère heureusement compensée par la constante bonne humeur de mon adversaire. Mon avant garde peine à prendre une colline tenue par une division d'infanterie et une excellente batterie, Mes grenadiers lancés bêtement dans une forêt inextricable d'où ils repoussent avec difficulté une division de ligne et une petite division d'infanterie allemande en carré qui protège avec efficacité notre ligne de communication que convoitait une division de cavalerie légère vicieuse. La partie se termine par une courte défaite.
C'est toujours un plaisir de jouer contre fabrice, on en redemande
2) Gabriel et ses français 1815 (enfin surtout sa cavalerie lourde) en rencontre. Les défauts d'un premier tournoi où l'on ne s'appuie que sur sa division de choc. Une division de fantassin laissée l'arme au pied dans un coin de table, une division de cavalerie légère qui hésite et finalement ne s'engage pas et la division de cavalerie lourde qui charge des bataillons grande taille avec canon de bataillon. les cuirassiers et dragons en fuite, la cavalerie légère autrichienne part conquérir les derniers objectifs. La victoire est totale.
Nul doute qu'avec un peu plus d'expérience, cette jeune grade poitevine donnera à beaucoup du fil à retordre.
3) Olivier et ses français républicains. Le premier assaut que je subis depuis que je pratique la règle. et mes inquiétudes se révèlent fondées, surtout face un adversaire qui ne laisse aucun répit. Je sacrifie une petite division qui tiendra 5 tours mais occupera une bonne partie de son armée. Mon avant garde résistant tant bien que mal, agissant toujours avec un temps de retard (perte d'initiative qui lui empêchera de récupérer ses désordres) pour finalement craquer, face aux boulets et coups de butoir des nationaux français au tour 5. La réserve ne pouvant renverser la tendance, j'abandonne la bataille au tour 6. La défaite est totale.
Excellente partie mais qui laisse un arrière gout de frustration et de revanche
4) Julien et ses italiens maquillés en russe en rencontre. Un adversaire en manœuvre et deux artillerie un peu isolée et le lance toute ma cavalerie (enfin 2 chevau-légers) sur les deux au second tour, mal m'en pris, aucune n'est prise. De plus mes entrée se font à la vitesse de l'autrichien historique, avec une extrême lenteur. Julien avec sa grande bienveillance en vient même à m'encourager dès que je réalise un bon jet
Et puis les mouches changent d'âne, au tour de mon adversaire de subir les aléas de la guerre. Mon avant garde repousse ses dragons jusqu'à sa ligne de communication, le centre est nettoyé par les feux italiens mais ils avancent avec trop de prudence, et mes grenadiers repoussent dans un premier temps sa seconde division d'infanterie avant de subir une contre attaque rageuse avec des troupes épuisées. C'est une belle victoire inespérée.
Un vrai plaisir où le résultat final aurait pu basculer de l'autre coté sans aucune honte et qui me donne envie de lui accorder une revanche en Normandie en fin de mois
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Au plaisir de vous retrouver pour de futurs parties.